Ce lundi à 21h05, le magazine « Crimes » vous entraîne sur la côte Atlantique, le long de cette façade océane si prisée des vacanciers, mais théâtre d’histoires bien moins idylliques. Dans cet épisode intitulé « Crimes sur la Côte d’Argent », trois faits divers aussi bouleversants que troublants reviennent hanter les dunes de la région : la disparition mystérieuse d’un jeune père de famille à Soustons, le calvaire d’une adolescente dans un hôtel de Cazaux, et l’assassinat ignoble d’une retraitée à Lesparre-Médoc. Trois récits de douleur, de soupçons et de vérité crue.
Un locataire de trop : disparition inquiétante à Soustons
Le 28 janvier 2015, l’inquiétude d’une mère pousse les gendarmes à ouvrir une enquête sur la disparition de son fils, Stéphane, un père de famille de 31 ans domicilié à Soustons, dans les Landes. Ce jour-là, aucun signe de vie, aucun appel, et pour seul indice, une voiture abandonnée en plein centre-ville de Bayonne, à plusieurs dizaines de kilomètres de là. Que s’est-il passé entre son domicile et cette ville basque ? Pourquoi Stéphane, décrit comme un homme sans histoire, aurait-il disparu sans prévenir ? Rapidement, les gendarmes vont comprendre que l’ombre d’un conflit domestique plane sur cette affaire. Une piste va les mener jusqu’à l’appartement de Stéphane, qu’il partageait temporairement avec un locataire. Un homme au comportement étrange, aux déclarations fluctuantes, et dont le profil intrigue. L’enquête se resserre, les témoignages se croisent, et bientôt une vérité sinistre commence à émerger. La famille de Stéphane, rongée par l’angoisse, va devoir affronter le pire. Un drame d’une rare intensité qui révèle combien la frontière entre le quotidien et l’horreur peut être mince.
Nuits d’horreur à l’hôtel : le supplice de Charlotte
À Cazaux, dans une modeste chambre d’hôtel proche du bassin d’Arcachon, le corps de Charlotte, 17 ans, est retrouvé sans vie le 12 septembre 2008. Son compagnon, Michaël, un homme de 33 ans rencontré quelques mois plus tôt, déclare que la jeune fille est tombée et s’est blessée. Mais à l’arrivée des secours, l’état du corps de Charlotte raconte une toute autre histoire. Coups, ecchymoses, lésions multiples, brûlures : les marques de violence sont manifestes et intolérables. L’autopsie révèle une septicémie foudroyante, résultat d’un corps à bout de souffrances. Très vite, les enquêteurs s’interrogent : que s’est-il réellement passé dans cette chambre ? Michaël, souvent décrit comme jaloux, possessif, et manipulateur, devient le suspect principal. Leur relation, bien que récente, semble teintée d’une emprise toxique. Les investigations lèvent le voile sur un quotidien fait d’isolement, de violences psychologiques et physiques, jusqu’à cette nuit tragique. Mais la justice saura-t-elle distinguer les mensonges d’un homme en fuite de la vérité indicible du martyre de Charlotte ?
Le calvaire de Nadine : le crime de l’impensable
Lesparre-Médoc, paisible bourgade du Médoc, se retrouve plongée dans l’effroi le 13 novembre 2011. Nadine, 63 ans, est retrouvée morte sur le pas de sa porte, le corps calciné, poignardé à de multiples reprises, et les signes d’un viol ne laissent aucun doute sur la barbarie du crime. Les enquêteurs, choqués par la violence extrême de l’acte, fouillent le voisinage, écoutent les rumeurs, traquent le moindre détail. Un jeune voisin attire l’attention. Solitaire, marginal, il aurait été vu rôdant autour du domicile de la victime. Bientôt, son nom revient dans plusieurs témoignages, et les premières preuves s’accumulent. L’enquête va révéler une personnalité troublante, aux pulsions refoulées, et à l’histoire personnelle chaotique. Le meurtre de Nadine n’a rien d’un acte isolé ou impulsif : il est l’aboutissement d’un long processus de violence intériorisée. Ce fait divers abominable soulève aussi la question des signaux ignorés, du silence des proches, et de la fragilité de certaines victimes invisibles, laissées sans défense face à la prédation.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.27.0″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.27.0″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][ba_advanced_divider active_element= »text » title= »Ce qu’il faut retenir » border_style_classic= »solid » border_gap= »15px » border_color= »#6EE2F5″ text_background= »RGBA(255,255,255,0) » content_alignment= »left » _builder_version= »4.27.0″ _module_preset= »default » title_level= »h2″ title_text_color= »#000000″ background_color= »RGBA(255,255,255,0) » border_color_all_icon= »RGBA(255,255,255,0) » locked= »off » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][/ba_advanced_divider][et_pb_text _builder_version= »4.27.4″ _module_preset= »default » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content » sticky_enabled= »0″]Crimes sur la Côte d’Argent
[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.27.4″ _module_preset= »default » background_layout= »dark » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »]Magazine de sociétés (2018)
[/et_pb_text][et_pb_image src= »https://www.planetecsat.com/wp-content/uploads/2024/02/logo-cherie-25.png » alt= »logo de la chaîne M6″ title_text= »logo cherie 25″ url= »@ET-DC@eyJkeW5hbWljIjp0cnVlLCJjb250ZW50IjoicG9zdF9saW5rX3VybF9jaGFpbmVfdHYiLCJzZXR0aW5ncyI6eyJwb3N0X2lkIjoiMzE4MTMifX0=@ » align= »center » _builder_version= »4.27.0″ _dynamic_attributes= »url » _module_preset= »default » max_width= »30% » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version= »4.27.4″ _module_preset= »default » header_font= »–et_global_heading_font|||||||| » header_text_color= »#000000″ header_2_text_color= »#000000″ header_3_text_color= »#000000″ background_color= »#6EE2F5″ custom_padding= »6px||||false|false » hover_enabled= »0″ border_radii= »on|10px|10px|10px|10px » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content » sticky_enabled= »0″]