Philippe Gougler explore nos voisins belges comme vous ne les avez jamais vus : entre Bruxelles, tramway côtier et joyeuses surprises ferroviaires, France 5 promet un voyage inattendu
Ce lundi à 21h sur France 5, “Des trains pas comme les autres” revient pour un nouvel épisode inédit, cette fois consacré à la Belgique. Et si ce petit pays frontalier, souvent moqué avec tendresse pour son accent ou ses frites, recelait bien plus que ce que l’on croit ? Philippe Gougler, fidèle conducteur de cette série documentaire désormais culte, s’aventure sur l’un des réseaux ferroviaires les plus denses d’Europe pour une traversée étonnante. De Namur à la côte belge en passant par Bruxelles et Anvers, l’animateur promet de faire résonner les rails belges d’anecdotes savoureuses et de rencontres chaleureuses.
Un pays à taille humaine, mais riche de contrastes
La Belgique est un paradoxe sur rails. Malgré sa petite superficie, son réseau ferroviaire est l’un des plus étendus et fréquentés du continent. Philippe Gougler choisit de l’aborder comme un terrain de jeu à la fois familier et méconnu, un pays que l’on traverse souvent sans vraiment s’y arrêter. Pourtant, à Namur, il découvre une douceur de vivre et une identité wallonne marquée, entre charme provincial et modernité discrète. À Bruxelles, c’est un tout autre décor : la capitale européenne bruisse d’activités, où les trains relient quartiers cosmopolites, institutions internationales et cafés typiques. Ce contraste entre régions, langues et mentalités belges devient le fil conducteur d’un épisode où le voyageur passe sans cesse d’une Belgique à l’autre.
Le charme insoupçonné de la côte belge
Le clou du voyage, sans doute, se joue sur les rivages de la mer du Nord. Là, Philippe Gougler monte à bord du célèbre tramway côtier, considéré comme le plus long du monde : plus de 67 kilomètres de voie ferrée reliant La Panne à Knokke-Heist. Une épopée tranquille le long des dunes, entre stations balnéaires prisées, paysages venteux et façades Art déco. Ce tramway, autant moyen de transport que symbole touristique, cristallise à lui seul l’esprit belge : pratique, décalé et attachant. À bord, les passagers croisent vacanciers, locaux et amoureux du train, tous unis par cette ligne atypique qui serpente le long de la mer. Une occasion rêvée pour Philippe de multiplier les rencontres sincères et d’illustrer ce lien si particulier que les Belges entretiennent avec leurs trains.