Buffets à volonté, plats traiteurs, menus à 10 euros : Capital décrypte les secrets de la restauration low cost ce dimanche sur M6

Ce dimanche à 21h10 sur M6, Capital explore les nouvelles stratégies des buffets à volonté, traiteurs d’hypermarchés et restaurateurs low cost. Comment mangent les Français sans faire exploser leur budget ?

Ce dimanche soir, Capital s’attaque à un phénomène qui passionne les Français : bien manger sans se ruiner. Dans un contexte d’inflation persistante, le magazine économique de M6 consacre sa nouvelle enquête à ceux qui rivalisent d’ingéniosité pour proposer buffets XXL, plats traiteurs ou menus à prix cassés. Comment parviennent-ils à allier qualité, quantité et petits prix ? Trois reportages au cœur de la restauration française lèvent le voile sur les dessous de cette économie gourmande.

Ils sont désormais plus de 4 000 à s’être installés partout en France : les buffets à volonté ne cessent de conquérir les papilles… et les portefeuilles. Avec leurs salles immenses, leurs décors spectaculaires et des menus à moins de 20 euros, ces nouveaux temples de la gourmandise attirent les foules. À Clermont-Ferrand, Monsieur Zhang révolutionne le genre avec un buffet haut de gamme à 21,90 euros, tandis qu’à Lille et Paris, les entrepreneurs misent sur des concepts géants capables de servir jusqu’à 1 000 clients par jour. Entre innovations technologiques et guerre des prix, Capital dévoile les coulisses d’un marché plus concurrentiel que jamais.

Gratins, sushis, lasagnes ou curry de poulet : le rayon traiteur des grandes surfaces connaît une explosion sans précédent. Avec une croissance de 27 % en cinq ans, il séduit les consommateurs en quête de plats frais et abordables. Capital enquête sur les coulisses de cette révolution du « prêt-à-manger » : fabrication sur place ou production centralisée, sélection des ingrédients, formation des équipes… jusqu’où vont les enseignes pour tenir leurs promesses de qualité à petit prix ?

Face à une fréquentation en chute et à une inflation galopante, certains restaurateurs misent sur des menus à 10 euros pour survivre. À Nancy, Jérôme Espiand propose un repas complet pour une note imbattable, tandis qu’à Lille, Gaël Cavallaro adapte tout son modèle économique pour proposer un menu à 11,90 euros. Robots, optimisation et cartes repensées : ces stratégies sont-elles vraiment rentables ? Entre audace et risque financier, Capital explore la face cachée de la restauration low cost.

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