Ce soir sur Toute l’Histoire : « Les Conquérants de l’espace », la saga bouleversante d’un rêve lunaire devenu réalité

LES CONQUÉRANTS DE L'ESPACE

LES CONQUÉRANTS DE L'ESPACE

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Le 20 juillet 1969, Neil Armstrong pose un pied sur la Lune et entre dans l’histoire. Cinquante ans plus tard, cette épopée spatiale continue de fasciner, tant elle mêle prouesse technologique, affrontement idéologique et aventures humaines hors du commun. À partir de 20h40, la chaîne Toute l’Histoire diffuse Les Conquérants de l’espace, une mini-série documentaire événement en deux volets, revenant sur cette formidable aventure qui a opposé Américains et Soviétiques dans une course effrénée vers les étoiles. Un récit haletant, riche en images d’archives et en reconstitutions, qui retrace les grandes heures du programme spatial américain, du lancement de Spoutnik à l’alunissage d’Apollo 11.

Mercury : les pionniers américains en orbite

Tout commence dans la nuit du 4 octobre 1957, lorsque l’Union soviétique envoie dans l’espace le premier satellite artificiel, Spoutnik. Pour les États-Unis, en pleine guerre froide, l’humiliation est totale. Le président Eisenhower réagit immédiatement : la NASA est créée pour coordonner la réponse américaine. Le programme Mercury est lancé dans l’urgence, avec un objectif clair mais ambitieux : envoyer un homme dans l’espace avant les Soviétiques. Pour cela, sept hommes sont sélectionnés parmi des milliers de candidats. Ils s’appellent Shepard, Grissom, Glenn ou encore Carpenter, et deviennent instantanément les nouveaux héros d’une Amérique avide de reconquête technologique et de prestige international. Leurs épouses, elles aussi, sont propulsées sous les projecteurs, offrant au public l’image lisse d’un rêve américain galvanisé par l’exploit à venir. Mais si la communication est savamment orchestrée, la réalité est plus rude : les premiers essais sont incertains, les échecs nombreux, et l’URSS garde une longueur d’avance. Le coup de massue tombe en 1961 : Youri Gagarine devient le premier homme à voyager dans l’espace. Pourtant, les vols réussis d’Alan Shepard, puis de John Glenn, redonnent espoir à la NASA. Les bases sont posées, les pionniers ont fait leur part. L’Amérique est prête à viser plus haut.

Gemini : apprentissage en apesanteur

En 1962, John F. Kennedy prononce un discours resté célèbre : avant la fin de la décennie, un Américain marchera sur la Lune. Pour atteindre cet objectif titanesque, un second programme spatial est lancé : Gemini. Il s’agit d’un laboratoire en orbite destiné à tester toutes les manœuvres nécessaires à un futur vol lunaire — rendez-vous spatiaux, sorties extravéhiculaires, maîtrise de la navigation. Ce sont des missions cruciales, bien plus complexes que celles de Mercury. Neil Armstrong et Buzz Aldrin y démontrent une compétence hors du commun et un sang-froid salué par toute la NASA. C’est aussi pendant cette période que se dessine l’ossature humaine du futur alunissage. Les échecs se transforment peu à peu en succès techniques, dans un climat de compétition exacerbée où chaque victoire symbolique est scrutée à la loupe par les deux blocs. Gemini devient ainsi le tremplin décisif vers le programme Apollo, qui doit concrétiser le rêve lunaire.

Apollo : tragédie, résilience et gloire

Le programme Apollo débute tragiquement : en janvier 1967, un incendie sur le pas de tir coûte la vie à trois astronautes, Grissom, White et Chaffee, lors d’un simple exercice au sol. L’Amérique est bouleversée. La NASA suspend tous les vols pour revoir entièrement ses procédures et améliorer la sécurité. La course à la Lune semble compromise. Mais contre toute attente, les missions reprennent en 1968, dans un pays meurtri par la guerre du Vietnam et les assassinats de Martin Luther King et Robert Kennedy. En décembre, Apollo 8 offre au monde une image inédite : un lever de Terre vu depuis la Lune. La photo devient un symbole universel d’unité et d’espoir. L’année suivante, le rêve se concrétise. Le 16 juillet 1969, la fusée Saturn V décolle de Cap Kennedy avec à son bord trois astronautes : Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins. Le 20 juillet, à 20h56 (heure de Houston), Armstrong descend les échelons du module lunaire Eagle et prononce sa phrase devenue mythique : « C’est un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité. » La conquête est accomplie, l’URSS est distancée, et plus de 600 millions de personnes assistent à l’événement en direct. Le monde entier retient son souffle.

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Documentaire de Patrick Jeudy (2018).

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Samedi 19 juillet

20H40

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