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Ce mardi à 21h05, France 5 propose un nouvel opus de sa collection Docs Conso avec On se pique pour la fleur française. Une immersion dans l’univers de l’horticulture et du commerce floral qui questionne nos habitudes de consommation. Derrière les bouquets colorés se cachent des réalités parfois méconnues : production intensive, impact environnemental, et une alternative émergente, le Slow Flower. Ce documentaire engageant met en lumière une révolution en marche dans le monde de la fleur coupée.
L’omniprésence des fleurs importées : un constat alarmant
Lorsqu’on offre un bouquet de roses, il y a de grandes chances que celles-ci aient parcouru des milliers de kilomètres avant d’arriver entre nos mains. En effet, 90 % des fleurs vendues en France proviennent de l’étranger, principalement des Pays-Bas, mais aussi d’Amérique du Sud ou d’Afrique. Derrière ces pétales éclatants se cache une industrie mondialisée, où les fleurs sont cultivées sous serre avec un usage intensif de produits phytosanitaires avant d’être transportées par avion. Une empreinte écologique considérable, bien loin de l’image poétique des bouquets offerts lors des grandes occasions. Pourtant, une alternative existe et commence à émerger en France : le Slow Flower.
Le Slow Flower : un mouvement en plein essor
Inspiré des pays anglo-saxons, notamment du Royaume-Uni où le roi Charles III lui-même soutient cette démarche, le mouvement Slow Flower promeut une culture plus respectueuse de l’environnement. Il privilégie les fleurs locales et de saison, réduisant ainsi les émissions carbone liées aux importations. Lors du couronnement du souverain britannique, seules des fleurs anglaises ont été utilisées, marquant un tournant symbolique dans cette transition écologique. En France, cette tendance prend progressivement racine. Alors qu’il y a cinq ans à peine, seules quelques fermes florales locales existaient, on en compte aujourd’hui plus de 500. Une dynamique en grande partie portée par le Collectif de la Fleur Française, qui s’attelle à relier producteurs et fleuristes engagés.
Les acteurs d’une renaissance florale en France
Ce documentaire donne la parole aux passionnés qui œuvrent pour redonner à l’horticulture française ses lettres de noblesse. Parmi eux, Michel Sotto, cultivateur de roses depuis trois décennies dans le Var, perpétue un savoir-faire familial en misant sur des méthodes respectueuses de l’environnement. À ses côtés, Valentin Brossard, basé en région parisienne, mise sur la proximité en proposant des tulipes locales aux fleuristes partenaires. Ces initiatives, bien que prometteuses, se heurtent encore à une concurrence féroce des importations et à un manque de sensibilisation du grand public.
Vers une meilleure information du consommateur ?
L’un des freins majeurs à l’essor du Slow Flower en France reste l’absence de réglementation claire sur l’étiquetage des fleurs. Contrairement aux fruits et légumes, aucun marquage n’est obligatoire pour indiquer la provenance des bouquets vendus en magasin. Les consommateurs doivent ainsi faire confiance aux engagements de leur fleuriste. Heureusement, des initiatives comme le label Fleurs de France émergent, offrant un premier repère aux acheteurs soucieux d’opter pour une consommation plus responsable. Mais le chemin est encore long pour un véritable changement des mentalités et des pratiques.
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Le documentaire On se pique pour la fleur française met en lumière une industrie florale dominée par l’importation et ses conséquences environnementales. Face à cela, le mouvement Slow Flower offre une alternative éthique et durable, déjà adoptée par certains producteurs et fleuristes engagés. Pourtant, l’absence d’un étiquetage obligatoire freine encore cette transition écologique. À travers des portraits inspirants et une enquête approfondie, ce reportage invite à repenser notre consommation de fleurs, pour qu’elles deviennent enfin aussi belles qu’éthiques.
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Documentaire de Fred Hissbach (2025)
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Mardi 11 février
21H05
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