“Aspergirl” saison 2 sur OCS : entre mission vers Mars et maison écolo, la série revient plus perchée que jamais

ASPERGIRL (SAISON 2)

ASPERGIRL (SAISON 2)

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La série Aspergirl, fait son grand retour dès ce mardi 17 juin 2025 en exclusivité sur OCS. Créée par Judith Godinot et Hadrien Cousin, cette comédie dramatique d’à peine 22 minutes par épisode ne perd pas une minute pour retrouver ses marques. Hors compétition au Festival CANNESERIES 2025, la saison 2 propulse ses personnages – et le spectateur – dans un nouvel arc narratif surprenant : la conquête spatiale… ou presque. Louison (toujours incarnée avec finesse par Nicole Ferroni), tente d’équilibrer vie de couple et crise existentielle quand Guilhem, son fils atypique, revient avec un projet délirant : coloniser Mars. Entre humour piquant, enjeux familiaux et satire douce-amère du monde moderne, Aspergirl réussit-elle à faire décoller sa saison 2 sans perdre sa gravité émotionnelle ?

Une chronique familiale toujours aussi singulière, qui garde les pieds sur Terre… malgré Mars

On retrouve Louison dans une situation de bonheur simple : une maison partagée avec Marica, sa nouvelle compagne militante écologiste, des rêves d’autonomie énergétique et un quotidien enfin apaisé. Mais c’était sans compter sur le retour fracassant de Guilhem, incarné par un Arthur de Crépy toujours aussi juste, qui revient chez sa mère avec une obsession martienne : rejoindre le programme de colonisation Mars 2030. Le choc est brutal. Louison, dans un déni presque comique, refuse de voir son fils repartir si loin… et surtout si vite. Entre les idéaux écolos de Marica, les exigences absurdes du professeur Satorovic (Marc Fraize, irrésistiblement inquiétant), et les troubles autistiques de Guilhem qui se heurtent au réel, cette nouvelle saison pose d’entrée de jeu les questions essentielles : jusqu’où peut-on accepter les choix de ceux qu’on aime ? Et à quel prix ?

Des ambitions démesurées dans un format minimaliste mais assumé

La force d’Aspergirl, c’est son minimalisme. Là où d’autres séries auraient étalé leurs intrigues sur des heures, la série réussit en deux épisodes à poser un décor, installer des tensions, et lancer plusieurs pistes narratives. La brièveté devient une qualité : les dialogues vont à l’essentiel, les scènes s’enchaînent avec une précision chirurgicale, et chaque regard, chaque silence compte.

Un ton décalé mais profondément humain, fidèle à l’esprit Aspergirl

Ce qui fait mouche dans cette saison 2, c’est l’alchimie intacte entre humour et tendresse. La série ne cherche jamais à forcer l’émotion, elle la laisse émerger d’elle-même, dans les décalages, les maladresses, les moments de friction. Le spectre autistique de Guilhem n’est jamais utilisé comme ressort comique ou tragique : il est simplement là, vécu avec ses contraintes et ses fulgurances. Le personnage de Louison, quant à lui, gagne en nuance : mère inquiète, compagne déboussolée, femme tiraillée. Nicole Ferroni livre ici une performance d’une justesse rare. L’intrigue entre elle et Marica (Eva Rami, lumineuse) aborde subtilement les limites de l’utopie écologique face à la complexité humaine. En filigrane, Aspergirl parle de notre époque, de ses absurdités, de ses rêves impossibles. Aller sur Mars ? Et pourquoi pas. Mais d’abord, réapprendre à vivre ensemble.

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Avec cette saison 2, Aspergirl confirme sa singularité dans le paysage des séries françaises. En abordant des sujets complexes comme l’autisme, la parentalité, l’écologie et la fuite du monde, la série parvient à rester à la fois drôle, touchante et originale. Malgré la brièveté de ses épisodes, elle déploie une richesse narrative impressionnante, portée par un casting impeccable et une mise en scène aussi délicate qu’inventive. Disponible dès le 17 juin sur OCS, cette nouvelle saison, entre dystopie intime et chronique sociale, mérite largement le détour. Une série qui sait rester légère tout en visant les étoiles.

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Série comédie de ALice et Rose Philippon (2025)

Avec : Nicole Ferroni, Louise, Massin, Arthur de Crépy…

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Tous les mardis

20H50

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