Ce soir à 21h10, W9 diffuse un épisode captivant d’Enquêtes criminelles consacré à l’affaire Bénédicte Belair. Intitulé « Accident ou meurtre déguisé ? », ce programme promet de plonger les téléspectateurs dans une enquête complexe et émotive.
Une mort suspecte à Pont-Sainte-Maxence
Le 4 avril 2017, à Pont-Sainte-Maxence (Oise), Bénédicte Belair, 55 ans, est retrouvée morte à son domicile. Son compagnon, William Morel, la découvre inanimée dans le salon en rentrant du travail. Les gendarmes concluent rapidement à une mort accidentelle due à une chute. Cependant, Sylvaine Grévin, la sœur de la victime, refuse d’accepter cette version officielle. Elle est convaincue que la piste du compagnon n’a pas été suffisamment explorée.
Un combat pour la vérité
Pendant six ans, Sylvaine mène un combat acharné pour que la justice prenne en compte ses soupçons. Elle s’étonne du peu d’importance accordée par les gendarmes aux violences conjugales que subissait sa sœur. En effet, cinq ans avant sa mort, le conjoint de Bénédicte avait écopé de trois mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Plus troublant encore, l’enquête semble avoir été bâclée : l’alibi du compagnon n’a pas été vérifié, la maison du drame n’a pas été perquisitionnée et une couette ensanglantée n’a pas été analysée.
Témoignage poignant
Dans cet épisode, Sylvaine raconte sa quête pour la vérité et livre un témoignage poignant. Elle espère que son combat permettra de rouvrir l’enquête et de faire toute la lumière sur les circonstances de la mort de sa sœur. L’homme, actuellement placé sous le régime de témoin assisté, pourrait-il vraiment être impliqué dans le décès de Bénédicte ?
Un second mystère : Le meurtre de Jennifer Mary
À la suite de cette affaire, Enquêtes criminelles s’intéressera au meurtre jamais élucidé de Jennifer Mary, 14 ans, survenu le 20 mars 2001 à Reims (Marne). Corinne Coutin, la mère de Jennifer, découvre le corps de sa fille aînée, lardé de huit coups de couteau, en rentrant chez elle. Accusée un temps de ce crime horrible, Corinne a toujours nié et est persuadée de connaître le véritable coupable : un riche notable de la région avec qui elle entretenait une relation adultère. Moins d’un mois avant le drame, elle aurait tenté de se venger de la rupture par un chantage à la sextape, ce qui aurait poussé l’homme à commettre l’irréparable.
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