Le 18 juin à 21h, CANAL+ propose un documentaire inédit retraçant le destin flamboyant de Cerrone, figure majeure de la musique disco et électronique. Avec des archives rares et les témoignages d’artistes emblématiques, « Cerrone – Supernature » plonge dans l’univers foisonnant d’un musicien visionnaire, resté en mouvement pendant plus de cinquante ans.
De Vitry-sur-Seine aux clubs de Saint-Tropez : les débuts d’un enfant du rythme
L’histoire commence à Vitry-sur-Seine, banlieue parisienne modeste, où un jeune garçon, fasciné par les percussions, reçoit à la fin de sa classe de sixième une batterie en cadeau. Ce présent sera l’étincelle d’une passion dévorante. À 17 ans à peine, il devient chef d’orchestre dans un Club Med, avant de faire ses armes dans les clubs nocturnes de Saint-Tropez. Là, au milieu des lumières et du tumulte des nuits tropéziennes, il se fait repérer. Un contrat signé avec le célèbre producteur Eddy Barclay changera à jamais le cours de sa vie. L’aventure musicale démarre en trombe, avec une première tournée, mais Cerrone choisira rapidement d’interrompre cette ascension pour se consacrer à son rôle de jeune père. Il n’a pourtant pas dit son dernier mot.
L’explosion mondiale avec Supernature, entre reconnaissance américaine et discrétion française
C’est en solo que Cerrone connaît son véritable coup d’éclat. Le titre Supernature, porté par une ligne de basse immédiatement reconnaissable et une ambiance futuriste, devient un succès planétaire. Dans les clubs de New York et de Los Angeles, les danseurs s’enflamment, tandis qu’en France, l’accueil reste plus discret. Pourtant, Cerrone incarne déjà tout ce que la french touch portera dans les années 1990 : un sens inné du groove, une production soignée, une audace visuelle et sonore. Cette reconnaissance internationale fait de lui un pionnier, bien avant Daft Punk ou Justice. Les plus grands artistes le sampleront, les DJs du monde entier ne cesseront de réinventer ses titres. Cerrone, discret mais omniprésent, devient un mythe vivant des dancefloors.
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Ce documentaire donne la parole à ceux que Cerrone a inspirés. Juliette Armanet, Laylow, Rahim Redcar, Purple Disco Machine ou encore Nile Rodgers racontent tous, à leur manière, l’héritage de cet homme à la chevelure d’or. Des univers très différents — du rap à l’électro en passant par la pop et la funk — convergent vers un même respect pour un artisan du son qui ne s’est jamais figé dans une époque. Aujourd’hui encore, ses beats résonnent dans les tracks des jeunes producteurs, ses orchestrations influencent les musiques de film, et sa démarche inspire des cinéastes comme Gaspar Noé. Cerrone n’est pas seulement un survivant : il est devenu une passerelle entre les époques, entre les genres, entre les continents.
Paris 2024 : l’apothéose d’un parcours hors norme
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais Cerrone, fidèle à son mantra de toujours innover, a accepté en 2023 un défi aussi symbolique qu’ambitieux : participer à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. À l’initiative de Victor Le Masne, la proposition tombe comme une évidence. L’enfant de Vitry, devenu citoyen de Ramatuelle après un long séjour aux États-Unis, voit sa trajectoire personnelle et artistique honorée par ce rendez-vous planétaire. À travers les images exclusives et les préparatifs de cette performance, le documentaire dévoile les coulisses d’un homme toujours en quête de sens, de rythme, et de nouveauté. Car Cerrone, plus que jamais, continue de battre la mesure du monde.
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