Les disparues de la gare de Perpignan : l’enquête a-t-elle avancé ?

NON ÉLUCIDÉ L'AFFAIRE LES DISPARUES DE LA GARE

Ce soir, la chaîne T18 replonge dans une affaire criminelle parmi les plus marquantes des années 1990 : l’affaire des disparues de la gare de Perpignan. Dans ce nouvel épisode de Non élucidé, l’émission revient sur une série de meurtres et de disparitions qui ont semé la terreur dans la cité catalane entre 1995 et 1998. À travers des témoignages et une reconstitution minutieuse, le programme retrace le parcours tragique de trois jeunes femmes dont le destin a basculé à quelques mètres des rails.

Le 21 décembre 1997, le corps de Moktaria Chaïb, 21 ans, est découvert sur un terrain vague de Perpignan. La jeune femme a été affreusement mutilée, déclenchant une enquête de grande ampleur. Les habitants de la ville sont sous le choc : un tueur semble rôder dans le quartier de la gare, un lieu déjà réputé pour sa dangerosité à la tombée de la nuit.

Six mois plus tard, le 16 juin 1998, Marie Hélène Gonzales, 22 ans, est retrouvée morte. Les similitudes entre les deux affaires sont troublantes. Même quartier, même mode opératoire : la piste d’un tueur en série s’impose rapidement aux enquêteurs. L’émission revient sur les premières hypothèses, les ratés de l’enquête et la peur qui s’empare des habitants de Perpignan, plongés dans une angoisse collective.

L’épisode évoque également la disparition de Tatiana Andujar, survenue en septembre 1995. Âgée de 18 ans, elle s’est volatilisée sans laisser de traces, dans le même secteur. Son corps n’a jamais été retrouvé. Ces trois affaires, reliées par la géographie et la brutalité des faits, forment une énigme criminelle majeure. Non élucidé retrace la chronologie des événements et les zones d’ombre qui subsistent encore aujourd’hui, malgré les années et les efforts des enquêteurs.

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