N’avoue jamais, ce soir sur CANAL+ : Sabine Azéma a-t-elle vraiment trompé André Dussollier ? La comédie qui secoue les cœurs et les zygomatiques

N'AVOUE JAMAIS

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Ce soir à 21h sur CANAL+, la chaîne met à l’honneur la nouvelle comédie douce-amère d’Ivan Calbérac, N’avoue jamais, portée par un trio légendaire du cinéma français : André Dussollier, Sabine Azéma et Thierry Lhermitte. À l’âge où l’on croit avoir tout vécu, François Marsault découvre que son mariage, long de cinquante ans, n’a pas été aussi parfait qu’il l’imaginait. En apprenant que sa femme Annie a eu un amant dans les années 80, il n’a plus qu’une obsession : retrouver cet homme, le fameux Boris Pelleray. Ce scénario improbable déclenche une virée familiale sur la Côte d’Azur, dans une atmosphère de règlement de comptes à la fois loufoque, touchante et profondément humaine. En mêlant quiproquos, situations cocasses et dialogues savoureux, Ivan Calbérac dresse le portrait d’un homme blessé, mais encore capable de s’émouvoir et de grandir, même à 75 ans passés.

Une dream team de comédiens pour une histoire de famille revisitée

On ne présente plus André Dussollier et Sabine Azéma. Inoubliables parents de Tanguy, ils forment à l’écran un couple aussi attachant que dysfonctionnel. Dans N’avoue jamais, ils livrent une partition maîtrisée, où les silences en disent parfois plus long que les éclats de voix. Leurs retrouvailles avec Thierry Lhermitte, dans le rôle de l’ancien amant dilettante et un brin provocateur, donnent lieu à une confrontation d’autant plus savoureuse qu’elle évite les caricatures. Joséphine de Meaux et Michel Boujenah viennent compléter la galerie de personnages, tous confrontés à leurs contradictions, leurs fragilités, mais aussi à leurs élans de tendresse. C’est toute une famille qui vacille et se resserre dans cette quête absurde, filmée avec une sincérité qui touche au cœur. La comédie prend alors une autre dimension : celle du temps qui passe, des souvenirs qui reviennent sans prévenir, et des liens qu’il faut réapprendre à tisser.

Ivan Calbérac, l’art de faire rire en parlant de l’essentiel

Depuis Venise n’est pas en Italie ou encore La Dégustation, Ivan Calbérac a prouvé qu’il savait naviguer entre humour et émotion, en racontant des histoires simples avec une justesse rare. Avec N’avoue jamais, il confirme son goût pour les personnages cabossés et lumineux, pour les dialogues qui sonnent vrai, et pour cette manière très française de parler de l’amour sans jamais sombrer dans la mièvrerie. Il faut dire que le sujet – une infidélité ancienne qui ressurgit cinquante ans après – offre un terreau fertile pour explorer les failles et les fidélités du cœur. Et Calbérac le fait sans cynisme, mais avec tendresse, en assumant la part absurde des sentiments humains. Porté par une mise en scène soignée, entre road trip méditerranéen et comédie de mœurs, le film séduit autant par sa légèreté que par sa profondeur inattendue. Un équilibre précieux, qui permet à la comédie de dépasser son cadre pour toucher à quelque chose de plus universel : le pardon, le temps qui file, et l’amour qu’on croyait rangé pour de bon.

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N’avoue jamais est bien plus qu’une simple comédie : c’est une invitation à regarder son passé avec un œil neuf, à faire la paix avec ce qu’on croyait oublié. Entre rires et émotions, le film offre à ses acteurs une partition brillante et propose un regard attendri sur la complexité des sentiments humains. La complicité entre Dussollier et Azéma fait des merveilles, et la verve de Thierry Lhermitte apporte l’ironie nécessaire à ce ballet sentimental. Une soirée réjouissante en perspective, qui prouve qu’il n’est jamais trop tard pour se redécouvrir.

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Film comédie d’Ivan Calbérac (2023)

Avec : André Dussollier, Sabine Azéma, Thierry Lhermitte, Joséphine De Meaux, Sébastien Chassagne…

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Vendredi 18 avril

21H

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