« Olympo » sur Netflix : la série entre sueur, trahisons et performances dopées à la perfection qui fait chavirer la plateforme

OLYMPO

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Dans les coulisses d’un centre d’élite sportive niché au cœur des Pyrénées espagnoles, la tension monte au rythme des battements cardiaques des athlètes. Netflix dévoile « Olympo », sa nouvelle série choc où excellence rime avec obsession, amitiés brisées et mystères inquiétants. Avec une distribution jeune et magnétique emmenée par Clara Galle, la série mêle compétition, thriller psychologique et drames adolescents dans un cocktail aussi étourdissant que percutant. Mais que se cache-t-il vraiment derrière les médailles et les corps parfaits ?

Un campus d’élite entre rêves de gloire et cauchemars éveillés

À Pirineos, centre de formation d’élite réservé aux meilleurs espoirs sportifs du pays, tout est pensé pour fabriquer des champions. Discipline militaire, entraînements intensifs, suivi médical scrupuleux : l’ambiance rappelle autant une caserne qu’un institut scientifique. Au milieu de cette pression constante, Amaia (Clara Galle), capitaine de l’équipe nationale de natation synchronisée, incarne la quête absolue de la perfection. Tout s’effondre lorsqu’elle est surpassée par Núria (María Romanillos), sa meilleure amie, dont les performances prennent un envol aussi brutal qu’inexpliqué. Ce simple basculement dans la hiérarchie sportive fait l’effet d’une étincelle dans une poudrière, révélant tensions, secrets inavouables et manipulations invisibles. Les apparences, si lisses, dissimulent un monde glaçant où chacun est prêt à tout pour garder sa place… ou monter d’un cran.

Des corps sublimés… ou modifiés ?

Rapidement, « Olympo » dépasse le cadre classique de la série ado sportive pour glisser dans un registre plus sombre et dérangeant. Pourquoi certains athlètes semblent-ils franchir un palier surhumain du jour au lendemain ? La série effleure habilement les zones grises du sport de haut niveau : dopage, technologies biomédicales, expérimentations non autorisées. Ce n’est plus seulement l’endurance ou la technique qui distinguent les meilleurs, mais peut-être un pacte implicite avec un système invisible prêt à tout pour faire gagner. Le spectateur est pris à témoin, témoin des sacrifices extrêmes que s’imposent ces jeunes adultes : restrictions alimentaires, douleurs tues, solitude psychologique, mais aussi ruptures amicales, amours complexes et désillusions. Olympo ose tout, y compris mettre en lumière les dérives éthiques du sport moderne, en les transposant dans un cadre romancé mais terriblement plausible.

Une série sous haute tension qui coche toutes les cases du binge-watching

Avec sa mise en scène léchée, ses ralentis immersifs lors des performances sportives et une bande-son électro-pop tendue à souhait, « Olympo » capte immédiatement l’attention. Les dialogues, parfois volontairement secs ou nerveux, traduisent la brutalité d’un univers où le moindre faux pas peut être fatal. Le casting, porté par Clara Galle (vue dans « A travers ma fenêtre »), impressionne par son intensité. Mention spéciale à María Romanillos, fascinante en amie devenue rivale, et à Agustin Della Corte, dont le personnage de Roque, taiseux et ambivalent, apporte une dimension dramatique forte. Si certaines intrigues secondaires flirtent avec les clichés du teen drama (romances secrètes, jalousies amoureuses, relations LGBTQ+), elles sont traitées avec une sincérité touchante, loin de la caricature. On pense parfois à « Elite », évidemment, mais avec une dimension corporelle et existentielle plus assumée. Et si Netflix tenait ici sa nouvelle série phénomène ?

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Avec « Olympo », Netflix signe une série ambitieuse et percutante qui plonge dans l’envers du décor du sport d’élite, entre quête de performance, dérives scientifiques et pression psychologique. En suivant des jeunes athlètes prêts à tout pour atteindre le sommet, le show interroge sur les sacrifices consentis au nom de la gloire et de l’excellence. Clara Galle y incarne une héroïne torturée, à la croisée des chemins entre loyauté, jalousie et besoin de vérité. À mi-chemin entre « Elite » et « Black Mirror », « Olympo » capte avec brio l’air du temps et propose un thriller psychologique haletant au cœur d’un monde où tout est mesuré, sauf les conséquences humaines.

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Série drame de Jan Matheu Montserrat, Laia Foguet, Ibai Abad (2025)

Avec : Clara Galle, Nuno Gallego, Nira Osahia…

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Disponible dès le

Vendredi 20 juin

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