The Chemistry of Death, notre avis : un thriller glaçant tous les lundis sur Polar+

THE CHEMISTRY OF DEATH

Diffusée tous les lundis à 20h55 sur Polar+, The Chemistry of Death plonge les téléspectateurs dans un univers où les blessures du passé refont surface au cœur d’un village apparemment paisible. Inspirée des best-sellers de Simon Beckett, cette adaptation s’inscrit dans la lignée de séries cultes comme Broadchurch. Entre enquête policière, secrets enfouis et menace permanente, la série réussira-t-elle à tenir en haleine les amateurs de thrillers sombres ?

David Hunter, médecin de campagne à Manham, pensait avoir laissé derrière lui son ancienne vie d’expert en anthropologie médico-légale. Mais tout bascule lorsqu’une habitante du village est retrouvée assassinée. Réquisitionné malgré ses réticences, il se voit contraint d’affronter ses propres démons pour prêter main-forte à la police. Dans l’épisode 1, la tension monte avec la disparition d’une joggeuse, tandis que l’épisode 2 révèle une affaire encore plus trouble, impliquant potentiellement deux meurtriers et des restes humains anciens découverts dans les bois. Plus Hunter avance, plus la menace se rapproche de son entourage, et notamment de Jenny, l’institutrice du village.

Notre avis
Avec Harry Treadaway, Samuel Anderson et Jefferson Hall, la série s’impose comme un thriller intense, sombre et méthodique. The Chemistry of Death joue la carte d’une ambiance lourde, parfois étouffante, qui rappelle Dexter mais dans une version plus intimiste et moins spectaculaire. Les mises en scène des cadavres sont glaçantes, renforçant une atmosphère qui ne laisse pas indifférent. Si les moyens semblent plus modestes que dans les grandes productions américaines, POLAR+ offre aux amateurs de polar une fiction efficace, à la fois classique et redoutablement prenante.

Logo POLAR+
CANAL+

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *