The Last of Us, saison 2 : trahison, vengeance et chaos total… on a vu l’épisode 1 et c’est une claque monumentale !

SAISON 2 DE THE LAST OF US

SAISON 2 DE THE LAST OF US

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C’était l’événement à ne pas manquer ce week-end à Paris : la projection en avant-première du premier épisode de la saison 2 de The Last of Us, organisée au Grand Rex, a réuni quelque 2000 fans en fusion, venus acclamer les stars de cette nouvelle salve d’épisodes qui s’annonce d’ores et déjà redoutable. Isabela Merced (aperçue dans Dora et la Cité perdue), Gabriel Luna (Terminator: Dark Fate) et Young Mazino (Beef sur Netflix) ont répondu aux ovations d’un public surexcité, et pour cause : HBO n’a pas fait les choses à moitié. Cinq ans ont passé depuis la fin de la saison 1. Ellie est une jeune adulte, endurcie, brisée, en colère. Joel, de son côté, tente de préserver un semblant de paix à Jackson… mais les secrets ont la peau dure. Le lien entre eux est distendu, et cette faille émotionnelle va vite s’élargir au rythme d’un récit d’une intensité dramatique rare. Mais cette deuxième saison tiendra-t-elle toutes ses promesses ?

Un épisode d’ouverture qui retourne le cerveau

On ne va pas tourner autour du pot : le premier épisode de cette saison 2 est magistral. Dès les premières minutes, le ton est donné. Fini le temps de l’espoir timide et des retrouvailles chaleureuses. Craig Mazin et Neil Druckmann, les créateurs du show, annoncent la couleur dans une mise en scène glaçante où la tension est palpable à chaque regard, chaque silence. C’est précisément là que la série frappe fort : The Last of Us n’est pas un simple récit post-apocalyptique, c’est un drame humain, au bord du gouffre, dont les personnages principaux – toujours interprétés avec brio par Pedro Pascal et Bella Ramsey – semblent prêts à basculer à tout instant. Les fans du jeu vidéo le savent : ce qui s’annonce est d’une violence physique et émotionnelle rare. Mais HBO a su transformer cette matière brute en or narratif. La réalisation est soignée, le rythme sec, et le final du premier épisode laisse bouche bée.

Un casting élargi pour une tragédie annoncée

Avec l’introduction de nouveaux personnages aussi complexes que bouleversants, cette deuxième saison joue la carte de l’élargissement narratif. Kaitlyn Dever (Apple Cider Vinegar) incarne Abby avec une intensité troublante. Autour d’elle, une galerie de figures marquées par la douleur prend vie : Dina (Isabela Merced), Jesse (Young Mazino), Owen (Spencer Lord) ou encore Isaac, incarné par Jeffrey Wright (Westworld, The Batman). Ce casting parfaitement équilibré entre visages connus et jeunes révélations sert une écriture redoutablement efficace. Neil Druckmann, créateur original du jeu, l’assure : « La série suit notre logique : chaque décision a un prix, chaque choix laisse des cicatrices. » Et cette logique transpire à chaque scène, chaque dialogue, chaque hésitation. HBO semble avoir compris qu’il fallait plus qu’un simple copier-coller du jeu : il fallait transcender l’œuvre originale pour en faire une fresque intime, politique et violente.

Une ambiance plus dure, plus crue, plus humaine

À Jackson, où l’histoire reprend, l’utopie communautaire se fissure lentement. La ville devient le théâtre d’un désenchantement sourd. Les infectés ne sont plus la seule menace. Le vrai danger vient des Hommes, de leurs rancunes, de leur soif de vengeance, de leurs croyances. Cette saison 2 semble être moins portée sur les jump-scares et plus sur les dilemmes moraux, les silences douloureux et les regards pleins de haine ou d’amour contrarié. C’est une œuvre qui bouscule, divise, dérange parfois. L’écriture pousse les spectateurs dans leurs retranchements, et chaque épisode (on en a vu qu’un, mais il donne le ton) semble vouloir interroger notre propre capacité à juger, à pardonner, à détester. Ellie n’est plus l’adolescente débrouillarde d’avant. Bella Ramsey la fait évoluer avec une précision bouleversante. Le regard est plus noir, le ton plus grave. Quant à Pedro Pascal, il incarne un Joel au bord de la rupture. Un homme qui a tout fait pour protéger, et qui découvre que l’amour peut aussi détruire.

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Cette saison 2 de The Last of Us, attendue dès le 14 avril sur la plateforme MAX, débute sous les meilleurs auspices avec un premier épisode percutant, intense, d’une beauté froide et implacable. HBO assume ses choix audacieux, et les fans du jeu comme les nouveaux venus devraient se retrouver captivés par une intrigue complexe où les certitudes volent en éclats. Avec un casting renouvelé, une mise en scène léchée et un ton résolument plus mature, la série s’apprête à devenir bien plus qu’une adaptation : une tragédie moderne, aussi viscérale que bouleversante.

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Série post-apocalyptique de Neil Druckman et Craig Mazin (2025)

Avec : Bella Ramsey, Gabriel Luna, Rutina Wesley, Kaitlyn Dever, Isabela Merced…

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Disponible dès le

Lundi 14 avril

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